<p>Tout à fait d'accord Briardounet, avec le fait que le lien drogues douces - drogues dures est franchi principalement parce que le vendeur est le même.</p><p>En fait, je me souviens du petit bouquin de prévention sur les drogues qui avait été édité et distribué par l'Etat (très bien fait d'ailleurs). Pour le cannabis, la plupart des conséquences négatives étaient le fait de l'interdiction elle-même.</p><p><p>Je me souviens d'un autre effet négatif de la chose : "se procurer du cannabis devient une préoccupation pour le fumeur". Ben ouais, c'est pas trop difficile, mais c'est pas non plus complètement simple, du coup çà devient une préoccupation, alors que le consommateur de poppers (nettement plus nocif) n'a lui qu'à aller au sex-shop le plus proche, ce qui rend la chose nettement moins préoccupante.</p><p>Tiens, j'habite dans un pays musulman en ce moment. Eh bien je peux vous dire que pendant le Ramadan, manger à midi et me procurer de la bière était une véritable préoccupation (et encore, pour moi c'était nettement moins préoccupant que pour certains locaux).</p><p>
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